I am a Chubby Unicorn

Je n’aborde jamais ce sujet. Mais je me suis dit que j’avais envie de reprendre un peu de blogging et que le sujet était d’actualité. ça me donne l’impression de faire un « coming out » … un peu ce sentiment de se mettre à nu devant tout le monde et de dire : oui, je suis grosse. Une petite grosse. Un mètre cube. 20kgs de trop au compteur après avoir été dans la zone des +10kgs pendant des années. Mais l’âge, la grossesse, la sédantarité parfois forcée, les hormones, le ras le bol, la déprime, le chômage longue durée, les difficultés de la vie, j’ai accusé le coup. Alors voilà, je suis la fille qui n’a presque aucune photo d’elle de plein pieds et qui n’en montre jamais.

Je suis la fille qui aimerait etre invisible pour aller à la plage, à la piscine, en été. Je suis la fille qu’on a toujours dit qu’elle était bonne vivante, bien potelée, a qui il fallait mieux faire envie que pitié.

Je suis la petite fille à qui on donnait une tranche de saucisson, un bout de gruyère, un quignon de pain parce que j’étais mignonne et que j’engloutissais tout avec plaisir et sans résistance. Je suis la fille qui chez son papi et sa mamie reprenait une 2eme part pour faire plaisir (et sûrement parce que ça me faisait plaisir à moi aussi).

Je suis la fille à l’adolescence au golfe persique qui a soudain réalisé que la séduction passait par l’apparence. Je suis la fille qui dès l’âge de 14 ans, s’est gavée d’isoméride, dinintel, Thiomucase, qui a fait du sport à outrance, s’est mesurée le pli cutané tous les mois, et qui réusissait grâce à un régime draconien à avoir cette allure presque acceptable que la société conditionnait à avoir.

Je suis aussi cette adolescente qui mangeait en cachette, qui une fois s’était fait goaler par sa mère en train de se vider une boite de chocolat en poudre dans la bouche et qui surprise par cette dernière se l’est renversée sur le visage dans son intégralité.

Je suis cette fille qui a eu un cadenas sur le frigo familial. Je suis cette fille qui a eu un père marqué par sa mere obèse et qui a lui même souffert de surpoids et qui ne voulait pas que sa fille vive la même chose et qui m’avait dit une fois en seconde: tu veux un mec ? maigris. Je suis cette fille qui a une mère toujours bien roulée après 5 enfants, mince de nature avec un métabolisme qui brûle a fond et qui m’a encouragé à être dans le contrôle pour m’éviter de souffrir et devant qui aujourd’hui j’appréhende toujours de montrer mon corps sachant que je serai forcément jugée.

Je suis cette fille qui a toujours souffert de ses kilos même quand elle n’aurait pas du, même quand ils n’étaient pas nombreux, même quand je n’aurai jamais du faire de régime.

Je suis cette fille qui se comparait tout le temps par rapport à ses copines, ses cousines, ses voisines, toutes grandes, minces, élancées, donc crédibles.

Je suis cette fille qui a toujours eu le sentiment de ne pas être légitime à juste être comme j’étais. Et ça c’est dur à admettre.

Je lis beaucoup de textes, de témoignages, je vois tous ces comptes instagram qui revendiquent le #bodypositivism , qui s’insurgent contre la #grossophobie , les mouvements type #graspolitique qui vont encore plus loin ou l’écrivaine Gabrielle Deydier et son si touchant « on ne naît pas grosse » … Tout cela me pousse peut être à apporter ma pierre à l’édifice après ces 30 années passées à souffrir, à faire le yoyo, à mettre mon corps et mon mental en souffrance pour essayer d’être celle qui me semble, qu’on me dit, être celle qui est la vraie moi, la belle, conforme, ‘healthy’ moi.

J’ai essayé. Pendant 30 ans. Avec plus ou moins de succès, plus ou moins longtemps. De la volonté j’en ai plus que quiconque et je deviens dans une colère noire quand on ose insinuer que j’en manque. Ceux qui vivent cela savent. Des années de contrôle obsessionnel, de sport à outrance même épuisée, Stop & Go. Echouer, tomber, toucher le fond, redonner un coup de collier, recommencer, s’accrocher, tenir bon, réussir, … retomber. pendant 30 putain d’années. Le poids de la culpabilité dans l’échec, l’euphorie galvanisante de la réussite. Et quand même se regarder dans la glace et se dire : naaaaan. ça va pas, c’est pas assez et je suis toujours aussi moche.

Mon visage est la seule chose que je tolère … si je ne regarde pas trop dans les détails. La vérité c’est que je m’invisibilise. Certains vont dire: si tu te sentais aimée tu t’aimerais. Faut arrêter avec ça. ça n’a rien à voir. On peut être aimé « tel qu’on est » et ne pas s’aimer soi. Moi on ne m’a jamais appris à m’aimer moi. La société, ma famille, l’entourage. On m’a toujours appris que telle que j’étais ce n’était pas bien et qu’il fallait que je sois mieux.

Ces derniers temps, le sujet me travaille davantage. Surement parce que je vieillis et que dans ma tête, tout cela fait son chemin. Sûrement parce que j’ai atteins mon maximum en poids et que ce mouvement de body positivism à l’approche de l’été et cette pression du corps estival reprend toute sa place (malgré les mois de confinement qui poussaient à relâcher la pression). Le monde d’avant reprend tous ses droits, les remarques de merde aussi et mes complexes aussi.

Hier je suis allée chercher ma fille à un anniversaire. Je me suis retrouvée la seule maman petite, grosse, entourée de 5 autres mamans, grandes, minces, bien sapées, super lookées et moi qui était plus relax. Malgré moi, ces sentiments de fille complexée sont ressortis et ça m’a déglingué. Moi qui pensais avoir dépassé ça, moi qui pensais ENFIN être au desus de ça et libérée … queudale. J’étais 30 ans en arrière, l’ado ruinée intèrieurement qui faisait comme si de rien n’était mais qui se disait qu’elle est la nulle de la bande, la pas légitime, la pas crédible, la plus moche.

J’étais en pleine conscience de cette situation que seule moi je devais ressentir même si je sentais des regards de jugement (forcément on est jugé sur son apparence surtout au milieu de mamans trentenaires branchouilles friquées parisiennes) et presque par chance, il y a eu une dispute d’enfants et j’ai pu avoir un super prétexte pour partir et arrêter cette séance de torture.

Et puis ce matin je lisais le compte instagram d’une fille activiste qui montrait le tsunami d’insultes qu’elle avait reçu suite à une photo qu’elle avait posté d’elle en maillot de bain… et ça m’a tellement mis en colère. Cette pluie de préjugés : grosse = faineante, sans volonté, forcément moche, ratée, et j’en passe.

A tous ces gens là j’ai envie de leur dire : le jour où vous aurez eu autant de volonté que toutes ces personnes que vous insultez, là où on pourra discuter. Mais d’ici là : allez tous bien vous faire cuire le cul.

Les filles bien dans leur peau (ou le challenge de s’assumer pour de vrai)

Aaaaaah les filles bien dans leur peau… Quand elles passent, tous trépassent.

Elles ont cette aura, cette lueur, cette aisance avec la vie, avec ce qui les entoure, une assurance affirmée.
Elles s’en foutent des autres. En tous cas c’est ce que l’on croit quand on les voit.

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Souvent, elles sont imparfaites. En tous cas aux yeux des stéréotypes de notre société.
Souvent, elles ne sont pas forcément taille mannequin, ni des reines de beauté. En tous cas selon les critères de notre société (oui oui, notre société est une société d’étiquettes même si on essaie désespérément de se la jouer tolérants… c’est juste en apparence…)

Mais elles sont là. Telles qu’elles, elles existent, elles s’aiment, elles en imposent, elles sont bien dans leur peau, elles s’assument, et du coup, on les trouve belles aussi.

Enfin moi je trouve. Moi je ne suis pas comme ça. J’adorerais l’être. Mais je ne le suis pas.

Moi je suis une complexée depuis mes 15 ans avec des minces périodes de répit. La faute à je sais pas quoi. Enfin si je sais. la faute à plein de choses trop longues à raconter et qui ne servent à rien de raconter. Avec le temps on se dit, OH ça va forcément passer. Passé 35 ans, sur la route des 40, on s’assume forcément, on n’est plus aussi victime des diktats de la mode et des critères sociaux comme à 25 ans… c’est vrai. Mais dire que ça disparaît, que nenni !

Depuis mes 15 ans, je me bats contre 15 kilos qui s’en vont et qui reviennent… qui sont un peu trop revenus ces dernières années et que j’ai de moins en moins l’énergie de faire partir… d’abord parce que le corps dit stop. Et puis le cerveau aussi. Manque de volonté ? Non. Peut être. En fait je ne sais pas. Le découragement est plus rapide. De la volonté j’en ai tellement eu, jusqu’à l’épuisement.

Alors je passe par des phases où je me dis: le jour où je m’assumerai, en fait, tout s’arrangera et tout partira… hmmm… euh… A ce rythme là, j’y serai encore à 60 ans ! Mon cher Nutritionniste diététicien endocrinologue très connu sur la place parisienne qui me connaît depuis 10 ans – et qui donc connaît un peu toute ma vie rock n roll m’assure que le jour où j’aurai un enfant, tout se rééquilibrera (que Dieu l’entende ainsi que Sainte Marie de la Wouine et mon satané X Fragile aussi, merci) – Il a sûrement raison.

Mais pour moi ça ne marche pas comme ça. Pour moi, je dois d’abord arriver à ce point d’équilibre, pour qu’ensuite tout s’enchaîne. Je sais que j’ai tort, mais rien n’y change. Je sais que je pourrai aussi m’assumer, m’aimer aussi comme je suis (ouais bon ça va c’est vrai je suis pas non plus un gros thon albacore !) – mais là c’est carrément au dessus de mes forces. M’aimer comme je suis? Non mais ça va pas la tête ? Nan. Je peux m’aimer, mais en mieux.

Pour plein de raisons, je sais que tout serait mieux sans ce poids dans ma vie. Ne vous en faites pas j’ai fait une psychothérapie. Le lien du poids avec les poids qu’on a dans sa vie, tout ça… j’ai fait le tour de la question. Mais en attendant, ça fait pas avancer mon schmilblik. Etre vraiment bien dans ma peau. M’assumer.

D’ailleurs, je réalise aussi que même avec 15 kilos de moins je serai dans l’embarras aussi. Oui parce que quand on me dit que je suis jolie ou que je mets une photo sur facebook réussie et qu’on me dit : ah wouaaah super la photo, sur le moment je suis flattée, évidemment. Mais ensuite j’ai juste envie de me planquer et de la retirer la photo qu’on en parle plus et qu’on me laisse tranquille, seule, loin des regards…

Un truc d’X Fragile? Peut être. Une difficulté à gérer le pouvoir de séduction ? Le regard des hommes ? Ouais je vous vois venir les psy avec vos grands sabots…

Peut être, peut être, sûrement. En attendant, concrètement, être vraiment bien dans sa peau, s’assumer pour de vrai, c’est pas si simple et évident pour plein de personnes. Même des garçons et pour beaucoup de filles, ça c’est sûr. Je le vois autour de moi.

Des discussions interminables, 100% répétitives, inlassablement, toutes les filles ont des soucis avec leur image, avec leur corps, avec leur apparence et ce qu’en pensent les autres…

Moi je suis qu’un exemple dans une multitude.

ça me fait bien marrer ces discours de tolérance, ces campagnes marketing spécial dodues tout ça… Bon. C’est quand même mieux que rien. Mais la vérité c’est qu’on est une société (en France et beaucoup à Paris) qui juge selon le poids qu’on fait et les fringues qu’on a. Et c’est d’ailleurs souvent déterminant pour la carrière professionnelle dans certains milieux… Alors clairement, on n’est pas aidé …

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Alors YAPLUKA FOKON !

Ouais. On va essayer. Et après, si ça marche toujours pas, on ira se faire voir chez les grecs.

Allez, à vous !

NB: photos trouvées sur Google Images (merci d’avance !)

Je ne suis pas une fille à talons … (mais j’essaie)

Je ne suis pas une fille à talons… j’essaie, mais rien à faire. Je ne suis pas une fille à talons.

Je suis la fille qui fantasme devant les vitrines de chaussures, qui craque, qui les achète, qui les mets 3 fois et qui ensuite en désespoir de cause les donne ou les vend sur leboncoin.

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J’adore les talons. A regarder. Je les adore sur des filles que je vois dans la rue. C’est féminin, c’est élégant, c’est séduisant, c’est sexy. ça plaît aux mecs.

Mais sur moi, ça ne marche pas. Je me sens endimanchée, pataude, lourde, totalement tarte.

Alors évidemment si j’étais plus svelte et élancée, plus légère, je me dis que je pourrai virevolter haut perchée sur des talons fins même aiguilles. Mais j’aime moins les talons aiguilles. J’aime pas les talons mastoques non plus. J’aime les talons qui donnent vraiment de l’allure. Toute sortes, sandales, escarpins, bottes …

Mais la vérité c’est que je crois que mon squelette, mes pieds de petit hobbit, mes orteils, n’aiment pas les talons. Il paraît que les Louboutin sont tellement confortables … mais je n’ai pas l’argent pour me payer des Louboutin. Et même lorsque j’étais dans une période svelte et élancée, les talons ne m’aimaient pas pour autant.

Alors j’essaie d’autres chaussures à talons. Et puis au bout d’une journée, j’ai tellement mal aux pieds que je rêve que d’une chose, c’est marcher pieds nus ou enfiler des bons godillots souples avec les pieds bien à plat !

Les ampoules, la cambrure des pieds qui n’adhère pas à la cambrure de la chaussure, les petites brides vicieuses qui te scient la peau, les lanières en tous genres qui recouvrent les orteils et les rendent douloureux, le pied qui glisse inexorablement provoquant des frottements de la voûte plantaire sur la semelle ou heurter l’orteil sur le dessus de la chaussure… Faut être une fille pour comprendre…

Des amies qui ne vivent que en talons, me disent que c’est une question d’habitude. C’est de ma faute. J’ai trop vécu en converses, en doc (ado les Dr. Martens), et autres chaussures souples, même en tongs et pieds-nus… alors je suis foutue.

Et puis un jour, j’ai découvert les sandales compensées, les semelles de liège, des versions presque orthopédiques de la chaussure à talons… Léger, sans risques… A priori.

Alors j’ai cédé. J’ai acheté cette belle paire de sandales, triomphante, persuadée que cette fois-ci, tout irait bien et que tout serait parfait et que moi aussi j’aurai de l’allure avec 10 cm de plus !

Déjà il y a des règles. Ne JAMAIS porter de talons les jours où il faut beaucoup marcher, voire courir et encore plus quand il fait chaud. Mais ça, je l’avais oublié. Evidemment, je me suis empressée d’enfiler mes sandales avec mes orteils passés au vernis, sauf que … j’étais en retard. Retard = courir, marcher vite, trottoirs instables = pieds sur échauffés en fin de journée, chevilles tordues, démarche pitoyable… Enfin je crois.

Je crois qu’il faut se faire une raison. Il y a les filles à talons, et il y a les autres. Moi je ne suis pas une fille à talons. Parfois j’essaie, je tiens le coup, parfois. Souvent pas.

Non, non, non. Je ne serai jamais la femelle fatale ultra sexy aux longues jambes interminables terminées par des armes de séduction massive.

Après tout on peut avoir du style, être fatale et avoir du sex appeal en étant à plat aussi ? Non ?

Coups de cœur olfactifs avec l’atelier Cologne ~ les colognes absolues ~

Si j’avais pu faire un métier créatif / artistique, j’aurai adoré être NEZ. D’ailleurs, qui sait, peut être dans une 2ème vie je me recyclerai.
J’ai toujours adoré les parfums, les bonnes odeurs …c’est d’ailleurs de famille.

Quand j’étais enfant, j’adorais l’odeur de térébenthine dans l’atelier de ma grand mère… l’odeur du cuir, de la peinture à l’huile, du bois ciré… les odeurs d’herbe fraichement coupée, l’odeur de l’océan, l’odeur du feu de bois… les parfums, toujours les parfums… subtils, doux, frais, …

Je pourrai parler pendant des heures de tous les parfums que j’aime, je pourrai rester des heures chez Sephora & co. et sniffer, sniffer à l’infini… jusqu’à ce que je ne sente plus rien…

Mais ces derniers temps, cela faisait un moment que je n’avais pas eu de coup de coeur olfactif… j’ai découvert de façon impromptue l’atelier cologne :

http://www.ateliercologne.fr/store/

j’adore les eaux de cologne… j’adore le néroli, j’adore les agrumes, j’adore le patchouli, l’ambre … et là, que vois-je, une association du tout, des jus qui ont l’air délicieux,… alors évidemment, avant de me lancer j’ai pu commander sur leur site de e-commerce des échantillons… 2€ l’échantillon d’eau de cologne absolue, j’ai pris de tout et certains en double, comme le Grand Néroli …

En même pas 48h j’ai reçu une enveloppe rembourrée avec des échantillons dans des enveloppes individuelles, accompagnés de leur petite carte et étiquette personnalisées, ça s’annonçait bien… le tout attaché avec des liens en cuir… wow 🙂

atelier cologne

Avec délicatesse, j’ai tout défait, sachet après sachet et j’ai plongé mon nez, mis une goutte sur mes poignets, avant bras et j’ai senti, humé, j’ai fermé les yeux, j’ai été transportée…

Alors comme je dois quand même être raisonnable, je vais me lâcher au fur et à mesure, mais je pense déjà à offrir un flacon à chaque personne que j’aime dans ma famille… même mon amoureux qui n’est pas un dingue de parfum pourrait être converti, je le sens… Et chose rare pour une cologne, l’odeur reste … un sillage subtil reste imprégné sur la peau… c’est divin je vous dis…

Quand j’aurai un peu de temps, j’irai voir leur boutique dans le 1er …

l'atelier cologne

Mistral Patchouli, Grand Néroli, Orange Sanguine, Ambre Nue, Bois Blonds, Vétiver Fatal, Trèfle Pur, Rose Anonyme, Vanille insensée, Oolang infini, Sous le toit de Paris, tout est plaisant, tout est délicieux, tout est apaisant, …

Un parfum ça se sent, ça se ressent, alors allez-y … sniffez !

Grand Néroli - l'atelier cologne

atelier cologne - mistral patchouli

atelier cologne - Bois Blonds, Ambre Nue

[Billet sponsorisé] Ma maman (et moi les WE) serons à la Foire de Paris – Bijoux – Bonne Cause – Handicap mental – X Fragile

Bonjour à tous ! Plus trop le temps de blogueur en ce moment (c’est fou comme le boulot ça prend du temps) – Donc je vais à l’essentiel et je partage avec vous le petit coup de pouce que je donne à ma môman – parce qu’elle le vaut bien, et que c’est pour la bonne cause aussi –

Les ChainUp’ de Ghislaine
Communiqué de presse

En exclusivité et pour la première fois à la Foire de Paris :Les New Twister’s des ChainUp’ de Ghislaine seront présents sur le Marché de la Foire, Stand 2.1 C10 – Des accessoires 100% naturels, 100% tendance et mode et 100% bonne cause !

Ghislaine Lozac’h – Fuchs « MomPreneur » de 55 ans d’une tribu de cinq enfants, dont Hugo, 20 ans et atteint du Syndrome X Fragile a lancé sa société «Les Chain’Up de Ghislaine » début 2013 et sera présente pour la première fois à la Foire de Paris sur le marché de la foire pour présenter en exclusivité les « NEW TWISTER’S » – stand 2.1 C10 : http://foire-de-paris.plan-interactif.com/?id=E1161550.1203092

En matières 100% naturelles : cuir et pierres minérales telles que l’hématite, l’éosite ou la zéolite, les new twister’s s’enroulent autour des poignets, du cou, des chevilles, de la taille. Un tour, deux tours, trois tours ou quatre tours même plus, ces accessoires de mode unisexe se destinent à devenir la coqueluche de l’été !

Calico Maman

Couleurs flashy ou naturelles, tous les styles sont permis pour ces accessoires résolument inscrits dans la tendance.

Côté tarifs, les New Twister’s seront soumis à une offre promotionnelle durant toute la durée de la foire :

1 bracelet 1 tour = 10€ TTC / 2 bracelets 1 tour = 15€ TTC
1 bracelet 2 tours = 15€ TTC / 2 bracelets 2 tours = 25€ TTC
1 bracelet 3 tours = 20€ TTC / 2 bracelets 3 tours = 35€ TTC
1 bracelet 4 tours = 25€ TTC / 2 bracelets 4 tours = 45€ TTC

2013-04-09 16.54.35

La bonne cause derrière Les ChainUp de Ghislaine

Ghislaine Lozac’h Fuchs n’en est pas à sa première expérience dans les affaires. Femme de caractère et femme de terrain, elle a été à la tête d’un des magasins les plus performants du réseau de franchises Jeff de Bruges de 1988 à 1998. « Dix années d’une grande créativité et d’un travail de forcené », dixit Ghislaine Lozac’h Fuchs. « Mais dix années de bonheur dans le chocolat ». Une fois ces enfants plus grands, cette hyperactive au sens des affaires aiguisé s’est relancée sans rien demander à personne. C’est sur les marchés cette fois qu’elle a fait ses preuves: « Levée à 4h du matin, virées à Aubervilliers et à travers la France, transports de marchandises parfois très lourdes, montage de stands, vente et démonstrations, remballage, parfois pour des sommes très faibles, la vie de camelot est impitoyable mais on apprend beaucoup et très vite sur comment marche le monde » déclare Ghislaine Lozac’h Fuchs

Derrière tout ça, une cause. La sienne, celle de toute sa famille et de toutes les personnes concernées : le handicap mental et la prise en charge des adultes. Car derrière cette énergie et cette personnalité haute en couleurs, se cache une grande douleur : Hugo, son fils de bientôt 20 ans, atteint du Syndrome X Fragile (première cause de regard mental héréditaire d’origine génétique, très proche de l’autisme dans certains symptômes)

«Trop peu de structures existent pour les adultes handicapés mentaux. C’est une vraie angoisse pour les familles de penser et gérer l’après. Des associations formidables existent mais ce n’est pas suffisant et les pouvoirs publics semblent se désintéresser de nous. Alors comme on dit dans ma famille : aide toi et le ciel t’aideras ». Ainsi, avec les ChainUp de Ghislaine, cette ‘Mompreneur’ aux allures de ‘Mère Courage’ espère récolter assez de fonds pour pouvoir engager un projet qui lui tient à cœur : un centre de vacances pour handicapés mentaux adultes.

En achetant des New Twister’s sur le stand des ChainUp de Ghislaine, non seulement vous ferez une bonne affaire et serez à la pointe de la mode, mais en plus vous agirez pour une bonne cause !

Alors RDV Stand 2.1 C 10 !